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Les secrets du mental


J'ai écrit cet article suite à la demande d'une jeune fille en secondaire 5 (17/18 ans) qui désire faire un exposé sur la force du mental et de la pensée en programme d'études internationales. La demoiselle m'a posé 5 questions que vous retrouverez dans l'article.
Je vous partage mon retour qui pourrait intéresser d'autres personnes ouvertes au développement personnel.

Bonjour Ophélie,

Waouuuuuuu!!! Tout un exposé de plusieurs vies que vous demandez là…

Ce sujet et vos questions ont accompagné de nombreux scientifique et Hommes spirituels tout au long de leur existence. Je vais vous apporter quelques réponses, qui n’appartiennent qu’à moi et vous donneraient quelques liens.

Je vais tenter de vulgariser pour vous, les réponses aux questions que vous vous posez, sans rentrer trop dans les détails...

Prenez le temps de regarder sur mon blog, vous aurez beaucoup de réponses :

http://www.emmanuelsabouret.com/#!blog/lqoa1

Et visualisez quelques capsules vidéos :

http://www.emmanuelsabouret.com/#!videos/c1aqu

Sachez que vos questions relèvent du médical, de la science et en même temps de philosophie, de spiritualité. Je ne suis ni l’un ni l’autre alors prenez mes notes comme une opinion personnelle et rien d’autre.

  • 1- En quoi notre mental joue-t-il un rôle important sur notre vie et notre santé ?

René Descartes (né le 31 mars 1596 en France, et mort le 11 février 1650 à Stockholm) célèbre scientifique, exprimait une dualité entre le corps et l’esprit. L’esprit était pour lui une entité indépendante avec le pouvoir de réflexion, qui n’avait aucun contrôle sur le corps qui n’était qu’une machine à ses yeux. Pour lui les animaux n’avaient pas d’esprit.

Les neurosciences aujourd’hui, démontrent la relation corps esprit. Notre corps est régi par notre système digestif qui est relié directement à notre cerveau par le nerf vagal. Ce nerf met en relation les 100 milliards de neurones dans le cerveau, tronc cérébral et colonne vertébrale, avec les 200 millions de neurones de notre système digestif. Dans la tête d’un chien, il y a à peu près la même quantité de neurones, c’est vous dire l’intelligence que nous possédons à l’intérieur de notre système.

Le système digestif est appelé le deuxième cerveau et les gastroentérologues parlent d’un troisième cerveau qui serait les bactéries à l’intérieur de ce système, qui régulent la digestion et l’état du déclenchement hormonal.

Le plus grand spécialiste du cerveau aux États-Unis émet l’idée que le cerveau ne serait pas réellement dans la tête, mais serait les récepteurs sur toute l’étendue de notre peau. Le cerveau n’est en fait qu’un régulateur de nos perceptions qu’il interpréterait avec les connaissances de son vécu, ses apprentissages par son éducation, ses croyances et ses valeurs.

Nous sommes des êtres émotionnels. L’émotion gère la totalité de notre vie. Chaque pensée déclenche des hormones, qui affectent chimiquement notre état psychologique et physiologique. Si vous broyez du noir ou avez du stress, la glande surrénale déclenche de la cortisone et de l’adrénaline. Si ce stress est négatif, les hormones du plaisir (sérotonine - dopamine) ne seront pas déclenchées et la cortisone réagira comme une hormone toxique. Dix minutes de stress intense représentent un poisson, et il faudra 4 heures au corps pour s’en débarrasser. Pendant ce temps, les cellules auront le temps de souffrir voire de se détruire.

Le mental positif permet d’avoir le recul nécessaire pour orienter ses objectifs conscients vers une solution. Le mental permet de viser un objectif et non de chercher à éviter les ennuis afin d’atteindre un objectif. Le mental permet de réguler l’émission d’émotions, donc d’émission d’hormones. Une grande partie des maladies aujourd’hui est fabriquée par l’esprit.

Livre recommandé:

- L’intestin – Notre deuxième cerveau, Professeur Francisca Joly Gomez

  • 2- Pourriez-vous me donner une définition claire de ce qu'est le mental ?

Tout commence par l'acceptation que le conscient et l'inconscient existent. L'inconscient (système limbique) ressemblerait à un disque dur regroupant l'éducation, les croyances, les stratégies, la programmation et une partie du stockage à long terne de la mémoire des capacités et des apprentissages qui font ce qu'est la personne. La clef pour atteindre ce disque s'appelle l'émotion. Le rire ou les larmes ou un simple sentiment émotionnel permettent d'atteindre et de mettre à nues les plaquettes et puces qui détiennent tout notre être. Si l’on veut changer un comportement, c'est à cet endroit qu'il faut intervenir. Pour y avoir accès, il faut occuper le gardien qui se trouve devant, le conscient (cortex frontal). C'est cette partie qui juge, analyse et intellectualise l'histoire qui se passe au moment présent.

Le conscient ne fait confiance à personne sauf à lui-même.

Le conscient transforme et raconte des histoires sans cesse pour comprendre et analyser rationnellement ce qu'il voit, entend, et croit connaître en interprétant. 
Le conscient a la fâcheuse habitude de toujours vouloir améliorer ce que l’inconscient fera au mieux pour lui. Le conscient est le créateur, philosophe sans la moindre connaissance, qui décide comment le technicien (l’inconscient) doit mettre en pratique la connaissance que ce conscient n’a pas… Le conscient est le facteur critique.

Le conscient raisonne, analyse, crée et verbalise ses connaissances et apprentissages, sans les gérer. C’est un transmetteur de comportement, de valeurs et de croyances, et un émetteur de sens à l’inconscient.

Rappelez-vous, lorsque vous avez passé un examen oral ou écrit, une compétition, la panique a pu prendre le dessus. Vous vous êtes tétanisé en vous disant que vous n’y arriverez pas. Votre mental était bloqué par une émotion de panique, bien connu par votre cerveau reptilien qui a mis du temps à reconnaître la situation. Puis, vous vous êtes détendu et des solutions sont revenues par bribe. Le conscient lâchait prise pour laisser surgir votre inconscient avec toutes ses connaissances et ses apprentissages que le conscient pensait ne jamais retrouver.

Le mental positif, c’est savoir prendre du recul pour observer la situation en approche solution et faire confiance à notre partie cérébrale qui sait ce qu’elle a à faire. Avoir un bon mental, c’est avoir l’intention d’aller jusqu’au bout sans avoir pu imaginer un seul instant que ce ne serait pas possible.

Je vous livre un extrait du livre ci-dessous :

Bruce H. Lipton, PH.D, « Biologie des croyances »

En 1952, un jeune médecin britannique commit une erreur qui se traduisit en une gloire scientifique éphémère. Le Dr Albert Mason avait traité les verrues d’un garçon de quinze ans par hypnose. Lui et d’autres confrères avaient auparavant réussi à guérir des verrues par cette approche, mais ce cas était particulièrement difficile, car la peau du garçon ressemblait plus à du cuir d’éléphant qu’à une peau humaine, sauf à la poitrine, où elle était normale.

La première séance d’hypnose porta sur un bras. Quand le garçon fut en transe hypnotique, Mason lui dit que la peau de son bras guérirait, qu’elle deviendrait saine et rose. Lorsque le jeune revint une semaine plus tard, le thérapeute eut le grand plaisir de voir que le bras en question semblait guéri. Or, lorsqu’il amena le garçon voir le chirurgien qui lui avait envoyé ce patient et l’avait traité par une greffe de peau, sans succès, il se rendit compte qu’il avait fait une erreur médicale. En effet, quand le chirurgien vit avec étonnement le bras du garçon, il dit à Mason que le garçon ne souffrait pas de verrues, mais d’une maladie génétique mortelle appelée ichtyose congénitale. En éliminant les symptômes par le seul pourvoir mental, Mason et son jeune patient venaient d’accomplir ce qui, jusqu’alors, avait été considéré comme impossible. Mason poursuivit les traitements d’hypnose, et presque toute la peau du garçon redevint saine et rose, comme son bras après la première rencontre. Le garçon, qui avait été la risée de son école à cause de sa peau, vécut dès lors une existence normale.

Dès lors, lorsque Mason décrivit son surprenant traitement pour l’ichtyose dans le British Medical Journal, l’article fit sensation. L’homme fut acclamé par les médias, ce qui attira les patients souffrant de cette maladie rare et mortelle, que nul n’avait encore réussi à guérir. Or, l’hypnose ne fonctionna plus. Mason tenta l’expérience auprès de quelques autres patients souffrant d’ichtyose, sans jamais pouvoir reproduire le même résultat. Il imputa son échec à sa croyance par rapport au traitement. En effet, avec les nouveaux patients, il fut incapable de reproduire son attitude sincère de jeune médecin croyant traiter un cas sévère de verrues. Après ce premier patient, Mason fut toujours pleinement conscient de soigner ce que le corps médical considérait comme une maladie congénitale « incurable ». Il essaya de prétendre qu’il était optimiste quant au pronostic, mais avoua sur les ondes de Discovery Health Channel qu’il bluffait…

Lorsque vous doutez de vos capacités, vous n’avez pas l’intention, l’attitude. Le regard ne sera plus dirigé vers la solution, mais vers une possibilité, et la synergie disparaîtra pour laisser la place à une énergie qui s’éparpillera après s’être essoufflée.

  • 3- En quoi la pensée positive joue-t-elle un rôle sur notre vie ?

Après avoir lu ces quelques lignes, vous avez un beau résumé de l’intérêt de la pensée positive. L’être humain a tendance à regarder le négatif qu’il a vécu dans sa journée. Il a tendance à occulter toutes les belles choses qu’il a faites automatiquement dans sa vie. Toutes ses actions ne sont que des interprétations qu’il a bien voulu se donner.

Tout problème est un apprentissage et non une erreur, ni un échec. Chaque seconde vécue est la seconde identique qu’il vient de vivre avec la différence de l’évolution et l’apprentissage de la seconde précédente. Lorsque vous retirez les barrières de vos croyances, vous vous rendez compte que tout est possible à atteindre, tous vos rêves, vos désirs sont accessibles. Seul votre mental peut vous arrêter. Vous avez au fond de vous toutes les possibilités et toutes les solutions pour aller où vous désirez sans limites. Regardez autour de vous, d’autres l’ont déjà fait alors pourquoi pas vous? Qu’est-ce qui vous en empêche, à part vos croyances ?

Ce que votre cerveau imagine en pensée, en transe, avec l’aide de vos sens et ce qu’il fait réellement dans l’action, se situe au même endroit dans votre système neuronal. La seule chose qui existe pour lui est celle que vous regardez.

Les neurosciences ont découvert une particularité sur nos neurones qui se nomme les neurones miroirs.

L'identification de neurones miroirs au cours des années 1990 est due à l'équipe de Giacomo Rizzolatti, directeur du département de neurosciences de la faculté de médecine de Parme. Alors qu’il travaillait avec son équipe sur le singe Macaque équipé d’un casque EEG, ils lui donnaient une cacahuète et observaient les zones de son cerveau qui fonctionnait lors de la vue de la cacahuète, lorsqu’ils lui tendaient la cahuète, lorsque le singe la décortiquait et lorsqu’il la mangeait. L’équipe fit une pause dans l’expérience. Un laborantin prit une cacahuète pour la manger et l’équipe s’aperçut que le cerveau du singe, qui observait le laborantin, utilisait les mêmes zones de son cerveau dans l’observation que s’il faisait lui même l’expérience. Ils ont conclu en avril 2010, vu le rapprochement du cerveau primate et humain, que le fonctionnement est identique chez l’homme.

Je vous répète donc que la seule chose qui existe est celle que vous regardez. Donner de l’importance au positif c’est voir positivement et entraîner comme un effet domino à atteindre le positif.

Intégrer un changement en autohypnose est une mise en place de nouveaux schémas comportementaux. Un des premiers à avoir instauré une technique d’intégration a été Émile Coué. Sa phrase magique était :

« Tous les jours à tout point de vue, je vais de mieux en mieux »

La mémorisation et l’installation d’un changement doivent s’intégrer dans le cerveau comme une formule autonome.

« La formation des souvenirs résulte de modifications de connexions des réseaux. Les neurones au passage du nouveau circuit modifient temporairement leurs connexions synaptiques, un peu comme un aiguillage de chemin de fer. L’hypothèse de Hebb se résume ainsi : un souvenir se crée lorsque l’action simultanée de deux neurones renforce la synapse, c’est-à-dire le point par lequel ils communiquent. Lorsqu’un neurone dit présynaptique en active un neurone postsynaptique de façon répétée, des changements métaboliques surviennent et l’efficacité de la transmission des signaux du neurone présynaptique vers le neurone postsynaptique augmente. »

FELDMEYER Jean-Jacques

La répétition de l’objectif, vécu par le système sensoriel s’installe durablement en forcissant les liaisons synaptiques.

« Mais si l’on répète plusieurs fois les entraînements, il se produit un phénomène pour le moins étonnant. Une molécule de la « cascade » biochimique induite par l’AMP, la protéine kinase AMP – cyclique-dépendante, pénètre dans le noyau du neurone, où elle induit une autre protéine, la CREB (une des plus grandes découvertes qui laisse envisager la production en laboratoire de cette protéine afin de lutter contre la perte de la mémoire à long terme), qui fait la liaison des éléments avec l’AMP et active des gènes codant pour des protéines. Sous l’effet de ces nouvelles protéines vont se développer de nouvelles connexions synaptiques qui sont la marque neuroanatomique de la mémoire à long terme. »

Le chemin emprunté par les neurones a la particularité de se créer même si vous n’êtes pas dans l’action physique de votre objectif.

  • 4- Pourriez-vous me parler un peu plus de l'effet placebo et nocebo

L’effet placebo et nocebo sont des sources de recherche constante.

Il y a aujourd’hui des preuves scientifiques sur l’état de croyance insufflé par notre société. La publicité en fait la preuve tous les jours par sa manipulation. En effet, ses effets sont de la manipulation psychologique qui peut être positive (placebo) ou négative (nocébo).

Lorsque vous prenez un médicament et que vous lisez les effets indésirables, vous avez déjà l’impression de les avoir ses effets, avant d’avoir pris le médicament.

Lorsque vous passez un examen et que vous entendez « ne t’inquiète pas, cela va bien se passer », vous commencez déjà à vous inquiéter.

L’injonction entendue doit être ressentie et assimilée par les sens pour être comprise. Si je vous dis :

- Alors que vous lisez ces lignes, une partie de votre corps est totalement détendu. Je me demande où elle se trouve cette partie? Est-ce dans le bas du corps, dans vos pieds, dans vos jambes où bien ailleurs ?

Pour le savoir, vous devez ressentir la détente afin d’aller chercher l’endroit le plus détendu de votre corps. C’est de la suggestion.

David Servant Schreiber médecin en science français, relatait dans un de ses livres une expérience qu’il avait fait avec un chirurgien américain dans les années 80. Ils devaient opérer un homme de 73 ans qui possédait des métastases au système digestif. Lorsqu’ils ont ouvert le patient, ils ont très vite compris que s’ils pratiquaient l’intervention, le patient ne se réveillerait plus jamais. Ils ont décidé un coup de bluff. Ils l’ont recousu et annoncé à sa famille que tout s’était très bien passé et qu’il était sauvé. Six mois après l’expérience, l’homme est revenu pour une visite post opératoire, et ils se sont rendu compte que la tumeur avait diminué de 80%…

Le professeur Lemoine Patrick, médecin psychiatre, relate une expérience du docteur Wolf dans les années 1960, qui accompagnait un patient en stade important de l’asthme chronique. Le docteur Wolf avait contacté un laboratoire qui travaillait sur une molécule afin de lutter contre l’asthme. Le laboratoire a accepté de lui envoyer le médicament et l’effet a été incroyable et incontestable.

Le médecin très professionnel voulait déterminer l’effet placebo du médicament. Il a donc recontacté le laboratoire afin de leur demander de lui envoyer un placebo pour comparer l’effet au médicament. Après avoir pris le placebo, le patient a rechuté complètement. Le docteur Wolf a continué l’expérience en intercalant la molécule et le placebo et retrouva les mêmes les résultats. L’amélioration avec la molécule était incontestable et la rechute directe avec le placebo. Le docteur recontacta le laboratoire en leur disant qu’ils avaient découvert une molécule miracle pour l’asthme. Le laboratoire lui avait répondu que dans les deux cas… c’était un placebo…

L’effet placebo est donc une intention, un mental dans l’intention qui appartient autant au patient qu’au médecin. Le médecin n’avait pas la même intention lorsqu’il donnait les deux traitements.

Je me répète, mais…

« La seule chose qui existe est celle que vous regardez »

  • 5- Pourriez-vous me parler plus en profondeur de ce qu'est votre médecine et quelles sont les différences avec la médecine, disons plus conventionnelle ?

Je tiens à être très clair, l’hypnose n’est pas une médecine !

La médecine a des patients, le coach - hypnologue a des clients.

La médecine traite et soigne, l’hypnothérapie et le coaching accompagne, transforme la perception des croyances.

L’hypnose et le coaching travaillent sur l’état présent du client afin d’atteindre un état désiré. Un hypnologue travaille sur le comment son client va atteindre son objectif en utilisant toutes ses ressources et ses capacités. Il met de la lumière sur son client et lui permet de retirer ses limites en observant ses croyances.

Je ne travaille pas avec des symptômes qui appartiennent à la psychologie et la détresse est orientée automatiquement vers un psychologue.

Le pourquoi ne m’intéresse pas vraiment, mais plutôt quel est l’état de ressources nécessaires afin d’aller au bout du désir.

La magie de la transformation appartient au client. Le conscient et la rationalisation de l’état n’a pas lieu dans la solution.

L’inconscient place les limites des objectifs et afin de les dépasser, il est nécessaire de dialoguer directement avec le responsable (l’inconscient). Ce responsable n’intellectualise pas un état, il le maintient depuis des années. L’inconscient détient la solution et le conscient, l’égo, n’est pas censé tout comprendre afin de changer de comportement. Si le conscient était si malin, il n’éprouverait pas de malaise qu’il ne pourrait pas contrôler…

Comme je vous l’ai écrit plus haut, la mécanique neuronale est ancrée profondément dans une mémoire que l’on ne peut pas effacer, mais elle se transforme dans la perception! L’approche solution dans l’accompagnement en hypnose et en PNL est une solution qui entraîne les neurones miroirs.

L’hypnose est une technique complémentaire afin d’accompagner les hommes et les femmes à ouvrir leur capacité de perception et de connaissance de soi. L’hypnose travaille avec l’imagination, les neurones miroirs. Accompagné d’autres connaissances comme la psychologie, la sophrologie, les neurosciences, la PNL (programmation neuro linguistique) et d’autres techniques, il est possible à toute personne qui désire un changement de l’atteindre en transformant leurs croyances limitantes.

La médecine conventionnelle a eu tendance à se consacrer à la mécanique physiologique, hormonale, pathologique de l’humain en délaissant le cognitif émotionnel.

Je vous rappelle que l’humain est un être émotionnel et que la relation corps esprit est totalement lié.

Le cerveau est capable de faire et de défaire ce qu’il a déjà construit mais ne supporte pas le vide. Il a besoin de faire des liens avec ses connaissances afin de trouver un sens à un ressenti.

Renforcer des liaisons synaptiques et en créer d’autres est une évolution sans cesse qu’il ne faut pas négliger. L’hypnose va au-delà de la technique de visualisation. La personne utilise tous ses sens et toutes ses capacités pour diriger son mental vers l’objectif à atteindre.

C’est une technique naturelle de perception qui va à l’encontre de ce que la société implante chaque jour par des limites, des cadres et des barrières.

La médecine est scientifique et, à mon avis, indispensable. Mon métier en tant que coach PNL certifié, et maître praticien en hypnose Éricksonienne et conversationnel est de mettre la lumière sur le désir de mon client pour lui permettre de percevoir qu’il détient toutes les possibilités pour atteindre son objectif. Mes clients s’autorisent, après avoir vécu en état de transe leur objectif, à mettre en œuvre toutes les actions nécessaires pour aller dans le changement.

J’espère avoir été le plus simple et compréhensif pour vous Ophélie.

Je vous remercie de vous ouvrir au cognitif et aux différentes techniques de développement personnel et de croyance.

Votre intervention auprès de vos camarades est une grande chance que vous leur offrez dans leur connaissance personnelle.

Je me tiens à votre disposition, si vous le désirez, que j’intervienne personnellement dans votre classe ou établissement afin d’expliquer le fonctionnement neurologique dans le développement personnel.

Excellente journée à vous.

Emmanuel

www.emmanuelsabouret.com


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